Balance 2023

Note clé de la BALANCE

"JE CHOISIS LA VOIE QUI MÈNE ENTRE LES DEUX GRANDES LIGNES DE FORCE."

"La Balance est un signe d’équilibre, qui pèse les valeurs afin d’atteindre le juste équilibre entre les paires d’opposés, grâce à l’utilisation judicieuse de la faculté d’analyse équilibrée de la pensée.

La Balance gouverne les professions de Loi, et maintient les équilibres entre ce qui est juste et faux, entre le négatif et le positif. La Balance est le “soutien de la Loi”. La Loi doit être le gardien de la justesse positive et pas seulement l’instrument d’une implacabilité forcenée. Tout comme nous cherchons à éliminer la force de nos relations nationales, et tout comme il est évident, de nos jours, que le processus de pénalités drastiques n’a pas réussi à prévenir de la délinquance ou à détourner les gens de l’égoïsme forcené (car tel est, en fait, le crime) et, selon le comportement d’être en société (opposé à la position non-socialisée de ceux qui contreviennent systématiquement à la loi) est considéré comme désirable car enseigné, également, au sein de tout système scolaire; il émerge donc dans la conscience publique que l’apprentissage des justes relations humaines ainsi que la diffusion de la capacité à accéder à la maîtrise de soi, à la croissance de la conscience altruiste (tel est le but, subjectif et souvent encore embryonnaire de toute procédure légale) représentent l’approche destinée aux jeunes. La clé de la croissance est de cultiver l’innocuité. L'innocuité n’est pas négativité ni inaction; il s’agit d’une qualité d’être en ”position parfaite”, d’accéder à un point de vue complet, à une compréhension du divin.”

Allocution Pleine Lune de la Balance

Genève - Jeudi 28 septembre 2023

Chèr(e)s ami(e)s

Bonjour à tous ici à Genève ainsi que par Zoom à cette réunion de la Pleine Lune de la Balance. Nous honorons le miracle de la vie. Et alors que nous nous rencontrons à l’occasion de cette pleine lune de la Balance, nous réfléchissons et méditons sur la note clé « je choisis la voie qui mène entre les deux grandes lignes de force ».

Son influence jouant sur l’âme, nous discutons d’un signe d’une remarquable douceur. C’est alors un signe d’équilibre et non de renversements consécutifs. Lorsque ce signe guide l’incarnation d’un individu, il est dit de sa vie qu’elle peut paraitre assez plate, sans grande découverte ni crise. Mais l’équilibre entre les forces de la personnalité et l’énergie de l’âme symbolise un point culminant précédant la prise d’ascendant de l’énergie spirituelle dans les trois mondes et la possibilité consécutive pour l’âme-personnalité d’être confronté à certains tests à l’horizon des constellations futures.

Cet équilibre, synonyme de douceur, est le terreau de la puissance. La douceur permettant la pénétration de la lumière. L’aspect fluide et la finesse que l’on attribue à l’idée de douceur nous permet d’imaginer comme l’équilibre entre les deux grands pôles que sont l’Esprit et la Matière peut progresser de façon homogène. Mais dans la mesure où les flux spirituels s’écoulent plus facilement en certains point de la substance mondiale qu’en d’autres, la nécessité d’un travail d’intégration reste fondamentale et est complètement d’actualité. Ces idées présentent certaines raisons pour l’emphase que Bonne Volonté Mondiale place sur l’idéal de justes relations humaines.

Les justes relations humaines permettent l’équilibrage des tensions diverses et variées et favorisent l’émergence d’une tension de groupe. La tension qui se focalise s’exprime vers quelque chose et obtient quelque chose en retour. Elle est comme une lance qui perce la substance d’où elle s’élance et s’imprègne de l’esprit qu’elle invoque.

Dans l’ère des Poissons, dans le passé, il était légitime pour l’atome humain de chercher à effectuer le travail invocatoire individuellement. Ceci est proposé car dans le passé, le tissu mondial des énergies était bien différent et bien plus hétérogène. Nous avions diverses religions, diverses langues et vivions dans des mondes bien plus séparés les uns des autres. Mais ceci n’est plus si vrai aujourd’hui, alors que notre période mondiale est celle de l’entrée dans l’ère du Verseau. Nous avons toujours nos religions mais anticipons déjà de ne garder que celle de notre invocation collective de groupe vers la source de nos vies. Nous avons toujours nos diverses langues mais disposons souvent d’une langue secondaire pour favoriser le contact avec nos interlocuteurs et communiquons par ailleurs dans la langue de bonne volonté. Celle-ci comporte une attitude sous-jacente à la forme que prend la communication et nous permet de nous entendre, de comprendre ce qui est dit et de partager ce qui en vaut la peine. Enfin, nous vivons toujours dans des mondes séparés, ou chaque microcosme répond à ses propres lignes de forces, mais nous vivons en même temps dans un monde beaucoup plus intégré et uni que jamais. Notre pensée est mondiale et nous relie à des personnes inconnues sur la planète entière, de même qu’elle nous relie à des espèces animales ou végétales que nous n’avons jamais vu de nos propres yeux et que nous souhaitons en bonne santé aujourd’hui et pour les générations futures. Tout ceci constitue notre vécu intégré, qui reçoit en chaque instant l’infusion progressive des forces de vie, qui s’ordonne ou se déséquilibre selon notre aptitude à maintenir la tension, électriquement parlant, vers le point qui nous fusionne et nous réhausse : le point de notre aspiration à une vie meilleure pour le plus grand nombre.

Il est dit que c’est dans le silence que croit la fleur de l’âme et c’est de cela dont il est question. Les justes relations humaines sont une forme de silence dans nos interactions. Là où nous sommes capables d’être bien vivants et réellement constructifs, mais sans heurter indument, nous permettons le déversement des forces de vie au sein du royaume humain, puis par extension au sein des royaumes animal, végétal et minéral qui s’enchainent successivement comme des poupées russes dans les niveaux de conscience. Le bon de la planète, l’entièreté de son développement, passe toujours par la capacité humaine. Notre responsabilité est merveilleuse.

Prenons un instant pour nous reconnaitre dans notre union vivante au monde et à la vie et énonçons ensuite le Gayatri – poème gracieux, élégante invocation, strophes vivantes !

Oh Toi qui soutient l’Univers,
De qui toutes choses proviennent
Vers qui toutes choses retournent
Dévoile-nous la face du véritable soleil spirituel
Caché derrière un disque de lumière doré
Que nous puissions faire tout notre devoir
Alors que nous cheminons vers tes pieds sacrés.

OM

Ce cheminement qui est le nôtre est celui vers les pieds sacrés de la déité. C’est un chemin de la périphérie vers le centre. De la personnalité à l’âme et, plus en avant, c’est un chemin vers la monade, notre Père dans les cieux. C’est même un chemin vers la déité planétaire, lui-même fils d’une déité solaire, qui ne serait lui-même qu’un centre de vie exalté et incompréhensible pour nous, parmi d’autres, vivifié d’une vie dont l’origine est sans source.
Souvenons-nous de ce poème de l’hymne de la création des Rig-Véda [1]:

Qui sait en vérité, qui pourrait l’annoncer ici
D’où est issue, d’où vient cette création ?
Les dieux sont en deçà de cet acte créateur :
Qui sait d’où il émane ?
Cette création, d’où émane-t-elle,
Si elle a été fabriquée ou si elle ne l’a pas été ;
Celui qui veille sur elle au plus haut du ciel,
Le sait sans doute, ou bien ne le sait-il pas ?

Nous reformulons ces pensées comme nous aiguisons la lame de notre discernement. Nous reformulons l’essence de notre inspiration pour la droiture de notre chemin, que nous « cherchons entre les deux grandes lignes de force ». Le rappel est donc mensuel, journalier, et permanent, que nous cherchons le chemin à travers les plans et non l’exploration d’un plan particulier ; ce qui bien sûr ne manquerait pas d’intérêt mais répondrait à un objectif différent.

Osons alors l’épithète de ‘transversal’ pour caractériser le chemin spirituel. Car celui-ci doit nous percer et nous devons le discerner dans la lumière du connu, mais sans basculer dans l’une ou l’autre des formations mentales que nous pourrions créer à son sujet. C’est peut-être pour cela qu’il est intéressant de considérer le signe de la Balance comme le régent de l’étape méditative de la ‘contemplation’. Lorsque nous serons en méditation, nous ferons donc ceci : nous chercherons à discerner l’émancipation d’une lumière plus fine au sein d’une lumière connue. Nous pouvons chercher la lumière de l’âme au sein de la lumière du mental, ou la lumière de la triade au sein de la lumière de l’âme. Cela répond, selon notre degré d’entrainement, à l’indice biblique : « Dans ta lumière nous voyons la lumière [2]». Ceci est fondamentalement ce que l’exercice de méditation nous propose. Et nous y accédons en plusieurs étapes qui incluent notre volonté d’orienter notre attention, notre volonté soutenue de rassembler notre attention, notre volonté de discerner au moyen de notre attention soutenue, et notre volonté de lier à notre discernement soutenu l’émancipation muette d’une lumière plus fine, plus douce, plus évanescente et cependant progressivement foudroyante.

Tout cela nous demande de l’équilibre. L’équilibre, comme nous l’avons dit, de ne pas laisser nos formes pensées dériver et risquer d’être indument polarisées. L’équilibre de nous tenir sans appui mais en tension invocatoire vers la ligne de conduite de nos vies. C’est cette ligne qui nous porte à la vie et c’est par elle que nous déclinerons nos actions. Nous avons bien une ligne de conduite commune.

À ce stade de notre allocution, nous pensons avoir justifié le cheminement de la pensée qui propose que l’équilibre permette l’intégration, et que l’intégration permette la monté en puissance. Certaines personnes comprennent bien à quel point la stimulation spirituelle peut être puissante. Mais il est bon de le souligner à l’appréciation de certains autres d’entre nous. La stimulation spirituelle doit être intégrée progressivement, faute de quoi elle se décline en processus déséquilibrés. Une roue dont le moyeu est décentré ne soutient pas la vitesse. Voyons-nous comme la discipline et la compréhension nous sont précieux ? La discipline nous permet de nous en tenir à ce que la compréhension nous révèle.

Rire, découverte, Inspiration.

Fort d’une base pour notre inspiration, nous abordons maintenant des sujets plus légers. Le sourire, menant peut-être au rire, est le symbole du succès de l’épreuve d’Hercule dans le signe de la balance. Hercule, en effet, doit conquérir le cochon sauvage ; il doit capturer le Sanglier d’Érymanthe. Ayant obtenu le succès de son travail - sa capture, donc -, il fait redescendre la montagne à ce fameux sanglier en le tenant par les pattes de derrière. La poursuite de son chemin est agrémentée d’un rire noble et ne manque de susciter l’hilarité des populations qui l’observent ainsi.

Ceci est décrit en ces termes dans le livre les Travaux d’Hercules :

« Du sommet neigeux de la haute montagne, Hercule descendit, se réjouissant en chemin, poussant devant lui le sanglier féroce, mais dompté. Il le poussait, le tenant par les deux pattes de derrière et tous sur le chemin riaient à ce spectacle. Tous ceux qui rencontraient le fils de l'homme qui est fils de Dieu, chantant et dansant en chemin, riaient aussi de le voir avancer. Tous, dans la cité, rirent aussi de cette scène, le sanglier chancelant et fatigué et l'homme riant et dansant. [3]»

Il y a dans le rire un élément de découverte et même d’éveil. Le rire est une forme de lumière. Il peut être une vibration qui transmue l’ignorance en joie. C’est grâce au rire que deux formes pensées se rejoignent en un cheminement inhabituel pour notre pensée. Regardons Hercule et le sanglier formant un couple de voyageur improbable. L’absurde de cette image ne vous évoque-t-il pas un sourire ?

Savez-vous quel mot commence par la lettre « e », finit par la lettre « e » et ne contient qu’une lettre ?

Il s’agit de « enveloppe ». Car enveloppe commence par un « e », finit par un « e » et contient une lettre.

Cet exemple donne corps à nos propos car il illustre le fait que l’humour permet de relier des formes pensées entres-elles. Le lien entre l’énoncé et la résolution de la devinette que nous venons de proposer est d’abord caché puis il devient évident. Lorsque l’humour est bien utilisé, il permet de faire circuler la lumière au sein du véhicule mental-astral [4] en résolvant les polarités vivant en son sein. L’humour peut ainsi décristalliser la personnalité et lui permettre d’approcher le symbole de l’humilité. Dans le cadre de notre discussion, tout cela se rapporte aux idées de douceur et d’intégration de l’énergie permettant le discernement et l’inspiration. Par ailleurs, ces idées se rapportent à l’individu mais aussi et peut-être surtout, au groupe. Pour cela, une certaine sensibilité de groupe doit prévaloir là où l’humour est employé. Car l’humour peut évidemment être mal utilisé et alimenter l’amalgame et la confusion en lieu et place de cette synthèse et détente mental permettant la pénétration des énergies. Nous nous abstiendrons d’aller dans cette direction de réflexion concernant un mauvais humour, sauf à dire que nous avons tous un rôle à jouer dans notre société pour trancher entre les formes d’humour qui nous élèvent et sont acceptables et celles qui nous empoisonnent et sont indésirables.

Nous considérons l’effet de surprise de l’humour lorsqu’il éclaire le mental en associant des formes pensées entres-elles. N’est-il donc pas opportun de réfléchir à la relation entre le rire et la découverte ? Y aurait-il un lien entre le Ha-Ha-Ha du rire et le Ha ! de la découverte ?

Prenons l’exclamation « Euréka » que se serait écrié Archimède en courant nu dans les rues de Syracuse après s’être élancé hors des bains ? [5] Archimède aurait découvert qu’il pouvait inférer de la composition de la couronne du roi Hiéron II, grâce à la densité du ou des matériaux qui la composerai(en)t en mesurant son poids - qu’il pouvait connaître grâce à une pesée - et son volume, qu’il venait de découvrir par le biais de la pensée imaginative comme résultant du volume déplacé d’un liquide au sein duquel un corps est immergé.

Archimède aurait ainsi dit « j’ai trouvé » ou « Euréka », Euréka signifiant j’ai trouvé. Nous n’allons pas ouvrir la parenthèse aujourd’hui mais il y a des liens sémantiques et étymologiques entre « trouver » et « s’orienter ». L’on serait ici invité à réfléchir à l’orientation de la pensée lorsqu’il s’agit de résoudre des questions, car nos résolutions s’obtiennent par le juste agencement de la substance et des formes-pensées sur le plan mental et ceci est fonction de l’orientation de la pensée.

Mais de toutes les questions, nous ne gardons qu’une question centrale. Nous qui méditons et œuvrons, avons-nous trouvé ? Nous qui cherchons plus de lumière et de signification dans ce monde aux milles couleurs, trouvons-nous ? Et cherchons-nous correctement ? Comment pouvons-nous tisser entre nous-même et la réalité un lien si surprenant qu’il nous ferait vivre l’expression du « j’ai trouvé » ? Comment pourrions-nous tisser un lien si surprenant et si vivant entre nous et la réalité qu’il évoquerait comme réponse de notre part une vibration à son adaptation qui serait faite de rire et de joie. Car c’est ce dont le mythe d’Hercule dans le test de la Balance témoigne. Lui qui cherche son défi au sommet de la montage (montagne qui si elle n’est pas le symbole de l’initiation est cependant celui ‘d’un haut point’). Hercule, symbolisant l’âme, descend le rire de la montagne, et les peuples qui en sont témoin, qui symbolisent les cellules alentours, celles de ses véhicules ou ses compagnons, irradient le même rire à l’unisson. Le sanglier symbolise principalement l’ancrage physique lors de la descente de la montagne, mais il était le sanglier du désir lors de son ascension vers le sommet de la montagne. En somme ce qui peut être dit dans le contexte de notre discussion de ce jour est que le corps astral, tendant vers des désirs élevés et focalisés, peut être saisi par l’âme et celle-ci peut alors le transmuter et ancrer la vibration de cette transmutation jusque dans le corps physique. C’est peut-être cela qui provoque, très littéralement, le rire. Cette transmutation du corps astral qui induit en suite un rehaussement de la vibration de l'automate physique, et donc le rire, est lié à une terminologie dont nous n’avons gardé qu’un sens perverti :

« L’expiation substitutive [6] ». Une façon simpliste mais déjà utile pour déchiffrer cette pensée est de considérer comme les énergies descendantes s’échangent ou se substituent avec les énergies existantes de la personnalité. Le terme ‘d’expiation’ une fois traduit, notamment en français, invite au débat, mais est en anglais il est très parlant. Il est utilisé de nombreuses fois dans l’enseignement d’Alice Bailey, c’est le terme « atonement » souvent écrit « at-one-ment ». Ce terme met en avant l’idée d’une mise à l’unité, ou d’une ‘une-ification’ de la conscience avec ses véhicules.

Ce que nous voyons dans ce travail désigne l’importance spirituelle et rédemptrice de rapporter la vision spirituelle de nos hauts points de communion, ainsi nous ancrons l’énergie, nous précipitons la solution, nous préparons le chemin pour les pieds du Maitre. En effectuant ce travail d’amener le haut vers le bas nous substituons l’ancien pour le nouveau.

Art

Ayant discuté de tout cela. Ayant discuté de la douceur et de l’aptitude à recevoir la puissance par le biais de l’équilibre. Ayant discuté des justes relations et de leur importance pour obtenir l’équilibre et permettre le déversement de l’énergie spirituelle. Ayant discuté du rire et de la création de liens nouveaux et de l’orientation de la pensée vers la découverte. Ayant discuté de l’aptitude de l’âme à capturer les désirs les plus élevés de la personnalité et à imprimer une vibration en retour qui promeut la transmutation des véhicules et l’unification de la personnalité à l’âme. Ayant discuté de tout cela il nous reste un thème à mettre en lumière car il couronne ici tous les autres. C’est le thème de l’art. Nous entendons dans ce thème des idées telles que jaillissement, liberté, lumière, vie ! Alors ayons une pensée pour l’art. Voyons comment il peut nous inspirer, comment il peut catalyser l’aspiration de notre tension collective et comment il peut résulter de la précipitation de nos perceptions les plus hautes. L’art que nous souhaitons voir éclore toujours davantage est une couronne de lumière sur la tête de l’humanité. Il est une passerelle de joie entre notre vie dans les trois mondes et le monde de la signification. L’art dont il est question n’est ni musical, ni graphique, ni autre, mais tout à la fois. Il est l’art de vivre.

Formulons si nous le souhaitons des pensées vivantes et abondantes à l’endroit d’un nouvel art de vie et donnons-lui chair. Nous avons chacun nos aptitudes et nos rôles pour laisser pénétrer la lumière dans le monde en rendant plus cohérent le travail de chacun, en nous alignant dans une tension invocatoire qui à la fois nous humanise et nous relie à notre source spirituelle. Nos actes témoignent de notre inspiration, ils en partagent la source et ils constituent notre service à une Humanité Une. Une humanité qui graduellement apprendra à « choisir la voie entre les deux grandes lignes de force » comme nous allons le faire maintenant en nous entrainant à la méditation de groupe sur cette note clé :

« Je choisis la Voie qui mène entre les deux grandes lignes de force. »

[1] Rig-Véda 10 :129-6 1
[2] Psaume 36:9)
[3] Les Travaux d’Hercules Alice Bailey, p. réf 61
[4] Mental-Astral, selon l’expression « Kama-Mana » proposée par H.P. Blavatsky, désignant le fait que le mental et l’astral sont, en pratique, pratiquement toujours teinté l’un de l’autre.
[5] https://www.antidote.info/fr/blogue/enquetes/eureka-jai-trouve
[6] Ou « expiation par procuration » Voir : L’Etat de Disciple dans le Nouvel Age, Vol II, Alice Bailey pp 402-5.

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