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CHAPITRE I LES CAUSES FONDAMENTALES DE MALADIE - Partie 2

Dans toute notre étude et dans nos explications, nous nous appuierons sur la synthèse de structure suivante :

1. L'âme.

2. Les corps subtils mental et émotionnel, qui sont simplement des centres d'énergies qualifiés.

3. Le corps vital (ou éthérique) avec ses sept centres majeurs de force.

4. Le système endocrinien, qui est une résultante des sept centres et constitue le facteur déterminant de commandement dans le corps physique de l'homme.

5. Le système nerveux dans ses trois divisions.

6. Le courant sanguin.

Tous les organes subsidiaires de l'homme sont des effets. Aucun n'est une cause prédéterminante. Les causes déterminantes chez l'homme, celles qui font de lui ce qu'il est, ce sont les glandes. Elles sont les extériorisations des types de forces provenant des mondes d'existence plus subtils, et qui affluent par les centres éthériques. Ces forces dénotent le point d'évolution atteint par l'homme.

Elles sont vitales et actives, ou non-vitales et inactives, selon l'état des centres. Elles manifestent une activité suffisante, excessive, ou insuffisante selon la condition des tourbillons éthériques.

Ici, le processus de contrôle s'effectue via le système nerveux. Le système directeur étroitement entrecroisé du réseau nerveux, du cerveau, et du courant sanguin (en tant que porteur du principe de vie) gouverne les activités de l'homme conscientes, subconscientes, conscientes de soi, et finalement super- conscientes.

Les trois centres qui détiennent aujourd'hui chez la [47] majorité des hommes l'influence suprême sont :

1. Le centre ajna ou frontal, situé entre les sourcils.

2. Le plexus solaire.

3. Le centre sacré (ou du sacrum).

Finalement, quand l'homme sera, selon une expression ésotérique paradoxale, "devenu ce qu'il est", les centres de commandement seront :

1. Le centre coronal dit brahmarandra.

2. Le centre cardiaque.

3. Le centre coccygien, à la base de l'épine dorsale.

Entre la situation présente et celle de l'avenir, l'accent sera mis sur une triplicité constamment changeante. Chaque homme sera différent des autres en ce qui concerne son intérêt essentiel, la condition de ses centres, leur correspondance glandulaire dans le corps physique, et par voie de conséquence en ce qui concerne les maladies et affections, les inhibitions et dispositions dont sa chair aura hérité. Sous ce rapport, il devient évident que le médecin et le psychologue doivent aboutir à travailler en étroite communauté.

Les trois aspects les plus importants de tous les diagnostics sont exprimés par :

1. Le psychologue, qui jauge les corps intérieurs de l'homme sous l'angle de leur développement, de leur intégration, et de la coordination totale de la personnalité, à mesure que ces aspects plus subtils de l'être humain se manifestent dans la conscience.

2. L'endocrinologiste, qui sait faire réagir les glandes à sécrétion interne en tant que centrales distributrices de certaines énergies dynamiques et illuminantes provenant des centres éthériques.

3. Le médecin qui, après avoir pris en considération les conclusions des deux experts ci-dessus, diagnostique la maladie et lui apporte ses remèdes, en collaboration avec les deux premiers experts.

Le psychologue, l'endocrinologiste et le médecin peuvent [48] faire appel à d'autres experts ou spécialistes en électrothérapie, ostéopathie, et chiropraxie, mais c'est dans l'association de leurs connaissances que la profession médicale peut puiser un nouveau caractère d'utilité. Elle entrera dans le nouvel âge avec l'équipement voulu pour traiter les cas qui vont progressivement fixer les caractéristiques raciales nouvelles et un organisme physique mutable.

En relation avec les infirmités humaines, le recours aux ressources de l'électricité est encore dans l'enfance, mais contient en germe les nouvelles techniques et méthodes de guérison. Le travail des chiropracteurs est bon et nécessaire, mais avec l'ostéopathie, il devrait former une technique bien définie, subsidiaire des trois autres. Le travail des chiropracteurs et des ostéopathes forme les deux moitiés d'un tout, malgré que leurs adeptes ne se soucient guère de le reconnaître. Le groupe précédent a besoin d'un entraînement plus long et plus méticuleux, et l'on devrait exiger de lui un standard plus élevé de connaissances techniques.

La médecine entre lentement dans un nouveau domaine d'utilité. Quand elle saura transférer les causes de maladie hors d'un organe ou d'un système corporel dans un domaine plus subtil et vital, nous assisterons à des changements radicaux et nécessaires. Ils conduiront à simplifier les cas et non à compliquer les difficultés.

Les considérations ci-dessus prouvent que la maladie émerge dans le corps physique, en provenance de l'invisible, et parce qu'on a usé ou abusé des forces plus subtiles des plans intérieurs. Il faut toutefois rappeler que la maladie telle qu'elle s'extériorise chez l'homme, peut généralement être attribuée aux cinq causes suivantes que les étudiants devraient garder soigneusement présentes à l'esprit quand ils méditent sur ces sujets.

1. Maladie individuelle due à des conditions intérieures dans l'équipement propre de l'homme, à son état mental, ou à un état émotionnel pouvant provoquer des [49] troubles graves. Ceci est hérité du passé.

2. Maladie inhérente à l'humanité en bloc. Il est certaines maladies auxquelles tous les hommes sont sujets. Les germes de ces maladies sont latents dans les véhicules physiques de la majorité et n'attendent que des conditions prédisposantes pour se manifester. On peut considérer ces maladies comme collectives.

3. Maladies qui, chose curieuse, sont accidentelles. Un individu en est victime par exemple quand il succombe à un mal infectieux ou contagieux.

4. Maladies inhérentes au sol. On n'en connaît encore que peu de chose.

Le sol de notre terre est fort ancien. Il est imprégné de germes de maladies qui prennent leur péage dans les règnes végétal, animal, et humain, se manifestent différemment dans chacun, mais proviennent fondamentalement des mêmes causes.

5. Maladies qui troublent la voie mystique. Ce sont les maux particuliers qui s'attaquent aux disciples et aspirants du monde. Dans chaque cas, on peut les rattacher à un afflux d'énergie submergeant des centres improprement équipés ou insuffisamment développés pour en utiliser la force.

Tout ceci est une généralisation que l'on trouvera peut-être utile.

Comme nous le savons, les forces astrales sont actuellement les plus actives à déterminer la vie pour la majorité des hommes. La méthode par laquelle elles se traduisent en manifestation est relativement simple. Le véhicule astral d'expression comporte, comme vous pouvez le concevoir, les correspondances homologues des sept centres du corps éthérique. Ce sont essentiellement là les sept foyers majeurs de force, et chacun d'eux exprime spécialement l'une des énergies des sept rayons. Indiquons d'abord clairement les centres qui expriment chacun de ces types d'énergie.

[50]

CENTRE

RAYON

QUALITE

ORIGINE

1. Coronal

2. Frontal

(Ajna)

3. Cardiaque

4. Laryngé

5. Du Plexus solaire

6. Sacré

7. Coccygien

 

1

7

 

2

5

6

3

4

 

Volonté divine

Organisation – Direction

Amour-Sagesse – Amour de groupe

Créativité

Émotion – Désir

Reproduction

Harmonie – Union par conflit

Monadique

Atmique

Bouddhique

Mentale

Astrale

Éthérique

Physique

Note : Dans le quatrième règne, le règne humain, la synthèse finale est assurée par l'énergie du quatrième rayon coopérant avec le premier. Il y a un rapport étroit entre le centre le plus élevé (coronal) et celui qui est à la base de l'épine dorsale (coccygien). Le quatrième type d'énergie s'exprime ainsi en coopération avec le premier parce que notre polarisation est encore Atlante, et que cette civilisation était la quatrième. C'est pour une grande part le travail effectué dans notre cinquième civilisation, celle de la présente race Aryenne, qui, en coopération avec le cinquième principe dit mental, amènera un déplacement de la conscience vers un niveau plus élevé. Il en résultera une harmonisation de tous les centres par un acte de la volonté, appliquée intellectuellement et intelligemment en vue de produire l'harmonie. Ce point mérite d'être médité.

Sur le plan astral, on trouvera aussi dans chaque corps astral sept points focaux homologues par lesquels l'énergie peut entrer, et d'où elle rayonnera ensuite vers les centres vitaux du corps physique éthérique sous forme de sept types de force différenciés. Ces types de force produisent tantôt de bons résultats tantôt de mauvais, selon la qualité du corps physique dense, lequel est négatif. Ils différent selon le type de rayon ou de force, et il est intéressant d'indiquer ici les bons et les mauvais effets ainsi que les maladies correspondantes (voir Tableau page suivante).

[51]

FORCE ASTRALE

 

CENTRE

 

 

MAUVAIS ASPECT

 

MALADIE

 

BON ASPECT

1er Rayon

Volonté ou

Pouvoir.

 

 

2ème Rayon

Amour Sagesse.

 

 

 

3ème Rayon

Activité- Adaptabilité

 

4ème Rayon

Harmonie (par

 conflit).

 

 

5ème Rayon

Sciences- Connaissance.

 

 

 

6ème Rayon

Dévotion

 

 

 

7ème Rayon

Organisation

 

 

Coronal.

 

 

 

 

Cardiaque.

 

 

 

 

 

Sacré.

 

 

 

Frontal (Ajna).

 

 

 

Laryngé

 

 

 

 

 

Solaire

 

 

 

 

Coccygien

(ou basal).

 

 

Apitoiement sur

soi-même.

Le Moi dramatique.

 

 

Amour de soi-même.

Personnalité.

 

 

 

Sexualité. Hyperactivité

 

 

Égoïsme.

Dogmatisme.

 

 

 

Psychisme inférieur

 

 

 

 

 

Émotivité.

 

 

 

 

Intérêt pour soi.

Égoïsme pur. Magie

noire.

 

 

Cancer.

Troubles cardiaques.

 

 

Troubles stomacaux.

Maladies vénériennes.

 

 

Folie.

 

 

 

Mauvais métabolisme. Certains cancers.

 

 

Maladies nerveuses.

Gastrite. Troubles du foie.

 

 

Maladie du cœur.

Tumeurs

Sacrifice. Dédication du Moi

 

 

 

 

Amour de

l'Âme. Vie de

groupe.

 

 

 

 

Amour parental.

 

 

 

Mysticisme.

 

 

 

 

Créativité. Sensibilité. Inspiration.

 

 

 

 

Aspiration. Orientation juste.

 

 

 

Magie blanche

En étudiant ce tableau, veuillez bien vous rappeler qu'il [52] est une généralisation et ne donne qu'une liste partielle des types de maladie qui peuvent résulter de l'influx d'énergie. Il est fait pour suggérer. La complexité de l'équipement humain et celle des énergies des rayons sont telles qu'on ne saurait poser aucune règle absolue. Les forces des rayons se manifestent différemment selon l'avancement spirituel du sujet et ses caractéristiques de rayons. Le présent tableau ne contredit donc aucunement les précédents.

Chaque être humain est fondamentalement une expression de cinq forces de rayons :

1. Le rayon de l'âme.

2. Le rayon de la personnalité.

3. Le rayon gouvernant le corps mental.

4. Le rayon gouvernant l'équipement astral.

5. Le rayon de la nature physique.

Si cela reste présent à votre mémoire, il deviendra clair que pour une personne moyenne il faudrait dresser deux tableaux concernant :

1. L'analyse positive des forces astrales pendant qu'elles expriment la personnalité.

2. Une analyse des forces de l'âme alors qu'elles sont faiblement dessinées. Une analyse négative concernant ce qui manque dans l'équipement aurait peu d'intérêt ici.

Il faudrait encore établir une analyse des forces atteignant le corps physique en provenance du plan astral, mais qui sont reçues directement de l'âme et forment donc une combinaison de force d'âme et du type le plus évolué d'énergie astrale. Cela représenterait une analyse synthétique et ne serait réalisable que dans le cas d'un disciple ou d'un initie.

Pour chaque individu on aura donc finalement : [53]

1. Une analyse positive des forces de la personnalité, principalement de la force astrale, puisque c'est la force prédominante qui se répand dans les centres éthériques.

2. Une analyse négative des aspects de l'énergie d'âme qui sont absents.

3. Une analyse synthétique basée sur les deux précédentes, mais y combinant aussi les données de l'expression positive de l'âme.

Ces tableaux et ces exposés offrent d'abondantes contributions à vos méditations.

B. Désirs inhibés ou déchaînés

Il est important que j'expose clairement l'une des données principales qu'un étudiant doit se rappeler au sujet des influences et impulsions émanant du plan astral. Pour la majorité des êtres humains, pour l'immense majorité, celles-ci sont un facteur prédisposant dans toutes les matières auxquelles l'individu s'intéresse, sauf les conditions auxquelles il ne peut échapper parce qu'elles lui sont imposées par son entourage et par l'époque à laquelle il vit.

Le plan astral est un centre de force dynamique émanante, qui est essentiellement conditionnante dans ses effets à cause du stade de conscience individuelle auquel se trouve la majorité. Les hommes subissent l'impulsion de leurs désirs de haute ou de basse qualité. Bien entendu, ce n'est là qu'une large généralisation, car cette condition fondamentale est constamment modifiée par les impulsions venant du plan mental. Cela complique les données du problème. Des influences provenant de l'âme s'y ajoutent de manière appréciable, et rendent encore plus complexe le problème de l'être humain évolué. Ce problème de complication" (si j'ose le nommer ainsi) a constitué pour l'étudiant un énoncé laborieux à comprendre et à relier à sa propre condition physique ou à celle de toute personne qu'il cherche à aider.

En liaison avec ce problème, voici le texte de la troisième [54] des

Lois qui régissent l'art sacré de guérir.

LOI III

Les maladies sont un effet de la centralisation essentielle de l'énergie vitale chez l'homme. Les conditions déterminantes qui provoquent la mauvaise santé font leur chemin en partant du plan ou cette énergie est focalisée. Ces conditions s'extériorisent donc sous forme de maladies ou d'immunités contre les maladies.

Un changement dans l'attention intérieure (ou attitude mentale) du patient peut donc produire et produira soit une véritable immunité contre les maux physiques, soit une intensification des réactions provoquant des malaises, des maladies, ou la mort.

Dans les trois lois qui viennent d'être exposées, il est évident que les faits suivants se discernent et devraient rester à la base de nos réflexions.

1. La maladie résulte de ce que le libre courant de la vie de l'ÂME est bloqué.

2. La maladie est le produit, ou le résultat, de trois influences :

a. Anciennes erreurs émanant de l'histoire du passé de l'intéressé.

b. Souillures humaines, héritées du fait qu'on est un membre de la famille humaine.

c. Mal planétaire, imposé à toutes les formes terrestres par les conditions fondamentales et par le temps.

3. La maladie est conditionnée par les forces émanant du plan où la conscience de l'homme est principalement centrée.

Aux indications ci-dessus, il faudrait ajouter un fait supplémentaire, à savoir :

4. Il y a cinq groupes majeurs de maladies, avec leurs [55] affections associées et leurs maux subsidiaires.

a. La Tuberculose.

b. Les maladies syphilitiques.

c. Le Cancer.

d. Les troubles cardiaques.

e. Les maladies nerveuses.

Je ne cherche pas à scinder mon exposé en parlant de troubles organiques et fonctionnels ni de maladies causées par des épidémies ou des accidents. Je me réfère aux souillures de base qui forment le douteux héritage de l'humanité prise en bloc, et aux difficultés reliées par incidence aux stades de développement évolutionnaire caractéristiques des disciples plus avancés sur le Sentier.

On en déduit que l'homme vient en incarnation nanti des prédispositions à la maladie en provenance :

1. De son propre passé, c'est-à-dire d'effets résultant de causes mises en mouvement dans ses précédentes incarnations.

2. De l'héritage racial général de l'humanité.

3. Des conditions de la vie planétaire. Ces dernières élèvent tout le problème hors de portée de la compréhension d'un homme ordinaire.

Un être humain est également prédisposé à des troubles si, à la suite d'une longue évolution, il a réussi à éveiller en quelque manière, si faiblement que ce soit, les centres situés au-dessus du diaphragme. Dès ce moment, il devient sujet, pour un long cycle de vies, à des troubles concernant le cœur ou le système nerveux dans une de ses diverses branches. Il arrive très souvent qu'un être évolué, tel qu'un aspirant ou un disciple, ait réussi à se libérer des souillures héréditaires, mais succombe à des troubles cardiaques, des désordres nerveux, un déséquilibre mental, une hyperstimulation. On classe parfois ces troubles sous le nom de "maladies des [56] Mystiques".

Je n'ai pas l'intention d'entrer dans le domaine des discussions physiologiques, de fouiller les symptômes de maladie ni d'étudier les lésions, les conditions pathologiques, et les détails déprimants accompagnant l'effondrement d'un organisme humain quelconque. Je ne me propose pas d'écrire un traité sur l'anatomie ni sur les diverses sciences issues de l'étude du mécanisme humain. Ces sciences se rattachent aux cadres et à la structure, aux organes, nerfs, tissu cérébral, et aux systèmes inter communicants qui composent la machinerie complexe du corps humain. Du point de vue de la science exotérique, deux faits réussiraient à m'en empêcher.

L'ensemble du sujet est merveilleusement traité dans de nombreux livres représentatifs de la médecine et de la chirurgie. Je ne serais guère en mesure d'ajouter des arguments profitables à une discussion de ce genre.

À de rares exceptions près, mes lecteurs ne sont pas instruits de la construction et de la constitution du corps humain. Les détails pathologiques, la description des maladies, et les symptômes déplaisants de la dégénérescence humaine forment une lecture malsaine pour la moyenne des hommes et des femmes. Il peut être extrêmement dangereux de n'avoir qu'un embryon de connaissances sur ces sujets.

Il importe avant tout de s'attaquer aux causes, c'est-à-dire aux sources intérieures de maladies Je m'occupe non seulement des états d'esprit, mais des états de conscience qui provoquent sur le plan physique un mauvais fonctionnement et finalement de mauvais états de santé.

Le problème du guérisseur est donc double. Premièrement, il doit s'assurer que la difficulté gît au-dessus ou au-dessous du diaphragme. Cela l'entraîne carrément dans le royaume des connaissances occultes aussi bien que psychologiques. Deuxièmement, il doit déceler clairement ce a quoi le patient attache intérieurement une importance majeure. [57] Cette dernière connaissance aidera le guérisseur à faire le diagnostic de la première. Ceci me conduit à formuler la troisième Règle à suivre par les guérisseurs.

TROISIEME REGLE

Que le guérisseur s'entraîne à connaître le stade intérieur de pensée ou de désir de celui qui recherche son aide. Il pourra ainsi connaître la source d'où provient le trouble. Qu'il relie ensuite la cause et l'effet et connaisse le point exact par ou le soulagement doit intervenir.